20.3.04

[outros melros XVI]

OLIVIER BRAMANTI

Ça ne vous dérange jamais ?

A ce compte-là, je devrais dessiner des fleurs ! Le monde n'est pas comme ça, il est plein de violence, il ne faut pas se le cacher... L'histoire est pratiquement liée à la guerre. Il y a toujours eu des morts, ça a toujours été représenté. Pendant des siècles, on dessinait Jésus pendant la descente de croix, c'est quand même une représentation qui est forte et même violente. Picasso a bien fait Guernica. Si l'on a quelque chose à dire, il faut l'exprimer. Là, il y avait cette violence exercée sur des villageois par un pouvoir qui avait pour lui l'armée, les milices. La violence, on la trouve partout, même en France.

(de uma entrevista)


Des merles volent vers le sud. «Oiseaux de malheur, ô oiseaux maudits, conduisez-moi sur la plaine!»

(Le Chemin des Merles, amok éditions, 2001)

(Vd. comentário esclarecido aqui)

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